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parce que curieux et éclectique nicolas est très sollicité : de la chanson au théâtre de rue, du jazz aux musiques expérimentales en passant par le ciné-concert.
enfant, il débute dans sa chambre en tapant sur une bassine en plastique puis défile avec la batterie-fanfare de sa petite ville normande. des marches napoléoniennes il passe tout naturellement à l’étude de la batterie. À la médiathèque, il emprunte un peu au hasard un disque d’art blackey and the jazz messengers et est définitivement envouté par le son de la batterie de jazz et le jeu de l’improvisation. plus tard, il s’initie aux percussions de la musique classique (timbales, marimba, vibraphone, xylophone…). adolescent à la fin du siècle dernier, il est également marqué par le rock bruitiste de einstürzende neubauten.
enfin s’ouvrant définitivement sur le monde, il étudie les percussions d’iran auprès d’un de ses plus grands maîtres Madjid Khaladj et approfondit le langage de la batterie jazz auprès du pédagogue et chercheur réputé Georges Paczynski.
depuis, riche de cette enseignement, en véritable « bruitologue », il joue des percussions bien sûr, mais aussi, de l’harmonium indien, des cailloux, de l’eau, des pots de fleurs, des pianos et claviers, des instruments électroniques, voire un peu de guitare. en fait tout ce qui peut permettre de créer « une sonographie » ! en collaboration avec d’autres musicien.e.s mais aussi des danseur.e.s, des comédien.e.s, des plasticien.e.s, des écrivain.e.s ou des poètes, il participe à de très nombreux projets. il s’est produit de new york à singapour en passant par st-petersbourg et partout en france dans des salles de spectacles ou des festivals mais aussi les écoles, les prisons, les hôpitaux, la rue partout toujours avec l’ envie de partager.
sans jamais oublier que tout a commencé sur une bassine en plastique – de couleur mauve – alors qu’aujourd’hui nicolas lelièvre est « le percussionniste dans les mains duquel n’importe quel objet devient instrument de percussion » selon les propos parus dans le journal libération.
il est présent sur de nombreux enregistrements dont un en concert produit par france musique.
il est fondateur de la cie des amis de fantomus (ciné-concerts) et est artiste associé à la spark cie (théâtre et musique) et la cie ne dites pas non vous avez souri (jazz et musiques libres).
il est actif également dans le groupe quattrophage groupe de référence des musiques de traverses depuis la sortie d’un disque sur le label mythique sordide sentimental à la fin des années 90.
sous le nom de drøm il mène un projet solo qui mêle enregistrements de terrain réalisés aux gré des ses voyages et musique oscillant entre avant-pop et folklores imaginaires.